
Je lui ai dit que c'était un W-E assez banal, qu'on s'est bien fait chier, que personne n'a rit, manger, bu du W-E (à part l'eau du lavoir ou les poissons baisent dedans). Que le vilage et l'architecture local sont d'une laideur consternante. Je vous parle pas de l'accueil des autochtones, ils sont insurportables, sauvages et agressifs.
Sinon, nous n'avons pas fait de sport, ni escalade ni course à pied, Thierry n'a même pas fait le ventoux, nous n'avons pas vu de minicanyon. Les anciens ne se sont pas baignés en moule bite dans une eau à 12°.

Que dire de la météo, de la flotte et une chaleur de plomb...
Pis comme on l'avait dit hier, après un W-E comme ca, c'est super simple de retourner au taff le lundi...

Jean-Luc nous ne reviendrons jamais.

Il faut bien entendu remplacer tous les mots négatifs par des mots positifs pour avoir une idée de ce que fût réellement le W-E.


